Seniors et digital : comment Andrew® rend l’autonomie possible après 75 ans
Temps de lecture : 8 minutes
27 oct. 2025
Andrew®
Actualités
Introduction
« J’étais convaincue que mes patients de plus de 80 ans ne toucheraient jamais à une application… Aujourd’hui, 70 % d’entre eux utilisent Andrew® chaque semaine ! » — M.D., kinésithérapeute à Paris
« Je pensais que l’âge serait un frein. Finalement, mes patients sont les premiers à me demander leurs exercices sur l’application. » — R.L., ostéopathe à Lyon
« Je travaille en maison de retraite : depuis que j’ai intégré Andrew®, les résidents suivent mieux leurs programmes et me posent moins de questions pratiques. » — S.F., podologue à Lille
Pendant longtemps, les thérapeutes ont cru que les outils numériques (comme une application de rééducation ou une solution numérique kiné) seraient réservés aux jeunes générations.
Pourtant, l’expérience de terrain racontée par des milliers de praticiens utilisateurs d’Andrew® prouve le contraire : les seniors peuvent non seulement utiliser ces outils, mais les adopter durablement lorsqu’ils sont bien accompagnés.
Derrière cette réussite se cache une réalité simple : le thérapeute devient le catalyseur de l’autonomie digitale du senior, mais aussi de son autonomie dans la rééducation.
Car plus le patient devient autonome dans l’usage du numérique, plus il progresse vite, avec confiance, dans sa rééducation.
Voici donc l'analyse menée en partenariat avec l'ITMP sur ce sujet avec nos propres données d'utilisation.
Les seniors et le numérique : état des lieux en France
Selon l’INSEE, 62,2 % des Français de plus de 75 ans rencontrent encore des difficultés avec les outils numériques. Cet « illectronisme » reste un frein majeur à l’accès à l’information, aux soins et aux démarches administratives.
Et pourtant, malgré ces chiffres, les données d’Andrew® révèlent une tendance encourageante :
11 898 utilisateurs de la plateforme ont plus de 75 ans, soit près de 6 % de l’ensemble des patients accompagnés.
Autrement dit, près d’un patient Andrew® sur 20 est un senior de plus de 75 ans.
Dans un contexte où le numérique médical peine encore à toucher cette tranche d’âge, c’est un signe fort : lorsqu’un outil est simple, ergonomique et accompagné par le thérapeute, il devient accessible à tous.
C’est ici que le rôle du praticien prend tout son sens. Grâce à des solutions comme Andrew®, le kinésithérapeute, l’ostéopathe, le podologue ou la sage-femme ne sont plus seulement des soignants : ils deviennent donneurs de confiance numérique.
L’illectronisme : un frein non insurmontable
Les causes de l’illectronisme sont connues : manque d’équipement, peur de mal faire, vision du numérique comme une complexité supplémentaire…
Mais dans le contexte thérapeutique, ces freins s’atténuent rapidement dès qu’un professionnel de santé joue le rôle de guide.
Prenons l’exemple d’un logiciel kiné ou d’une application santé pour professionnels.
Si le thérapeute se contente d’envoyer un lien par mail, le patient âgé risque de ne jamais l’ouvrir.
Mais s’il prend trois minutes en séance pour montrer comment accéder aux exercices thérapeutiques en ligne, comment cocher “fait” après chaque série, et comment lire les vidéos de rééducation digitale kiné, alors le patient ose, et il réussit.
Prenez rendez-vous avec l'un de nos thérapeutes afin qu'il vous explique comment faciliter la mise en place de Andrew® au cabinet et gagner du temps avec.
L’expérience Andrew® montre que le facteur humain est le déclencheur de la réussite digitale.
Le thérapeute devient littéralement le traducteur du numérique pour les personnes dans le besoin
Ainsi, les seniors découvrent qu’une application rééducation patient kiné n’est pas une contrainte, mais un prolongement naturel du soin.
Et c’est précisément cette confiance initiale qui transforme l’appréhension en autonomie.
Andrew® et les seniors : la preuve par les chiffres
Les données d’utilisation d’Andrew® sont parlantes :
11 898 utilisateurs de plus de 75 ans ont adopté la plateforme, et parmi eux, la fonctionnalité la plus utilisée reste le module d’exercices de rééducation.
Cette donnée, loin d’être anecdotique, illustre un phénomène fort : l’adhésion des seniors à l’outil numérique quand il est associé à un accompagnement thérapeutique humain.
Les praticiens rapportent des comportements surprenants : certains patients notent leurs progrès, d’autres consultent les vidéos plusieurs fois par jour pour “bien refaire le geste”, et certains demandent même à leurs enfants ou petits-enfants de les aider à mieux naviguer dans l’application.
La rééducation devient alors un projet familial et interactif, au lieu d’être une contrainte isolée.
L’usage d’un outil de prescription exercices comme Andrew® a donc un double effet :
Il soutient la progression physique du patient,
Et il favorise sa confiance dans le numérique.
Ce lien entre autonomie digitale et autonomie en rééducation est au cœur du succès du programme.
Plus un patient utilise l’outil seul, plus il comprend les consignes, plus il répète correctement les exercices, et plus la rééducation avance vite.
C’est la boucle vertueuse du soin moderne : autonomie numérique = autonomie fonctionnelle.
Le thérapeute, catalyseur de l’autonomie digitale et rééducative
Il y a dix ans, le numérique médical était perçu comme une menace : « ça déshumanise », « ça remplace la relation ».
Aujourd’hui, des plateformes comme Andrew® prouvent l’inverse.
Le thérapeute n’est pas effacé par la technologie : il en devient le moteur.
C’est lui qui guide, motive, relie, traduit, simplifie.
Sans son accompagnement, l’application resterait une coquille vide.
Un ostéopathe utilisateur d’Andrew® confie :
« Au début, je craignais que mes patients ne prennent pas le temps de se connecter. Maintenant, c’est eux qui m’envoient leurs retours via l’application avant même la séance suivante. »
Cette relation augmentée change tout.
Le praticien gagne en efficacité, le patient gagne en autonomie.
Là où avant il fallait répéter les consignes à chaque séance, aujourd’hui le patient visualise ses exercices en vidéo, mesure ses progrès et se sent acteur de sa rééducation.
C’est le principe même du suivi digital kinésithérapeute : un accompagnement à la fois humain et connecté, où la technologie prolonge la main du thérapeute.
Andrew® devient alors bien plus qu’un logiciel suivi patient ou qu’un logiciel rééducation kiné : c’est une plateforme de transmission d’autonomie.
Conseils pratiques pour accompagner les seniors dans le numérique
Voici quelques recommandations issues de l’expérience des utilisateurs d’Andrew® :
Intégrer l’application dès la première séance.
Montrer en direct comment lancer une vidéo ou cocher une tâche renforce la confiance du patient.Simplifier le vocabulaire.
Parlez de “vos exercices” plutôt que de “votre programme numérique”.Encourager les proches à participer.
Un enfant ou petit-fils peut aider à l’installation de l’application mobile pour suivi kiné.Valoriser les réussites.
“Vous avez bien fait vos exercices cette semaine !” devient un moteur puissant de motivation.Créer un rituel.
Proposez une notification douce, un rappel quotidien, ou une session hebdomadaire de bilan.Se former à la prise en charge des seniors.
En se formant à l'ITMP par exemple.
Ces pratiques renforcent non seulement l’adhésion au numérique, mais aussi l’efficacité du traitement.
Le thérapeute devient ainsi un coach santé digital, capable d’allier expertise clinique et pédagogie numérique.
Pourquoi les thérapeutes doivent adopter les outils digitaux
L’enjeu dépasse la simple modernisation du cabinet.
Adopter une solution numérique kiné ou un logiciel kiné comme Andrew®, c’est investir dans une nouvelle expérience patient.
Les bénéfices concrets sont nombreux :
Gain de temps : moins d’appels, moins de rappels de consignes.
Suivi continu : le patient reste engagé entre les séances grâce au programme d’accompagnement kiné.
Motivation accrue : voir ses progrès stimule la régularité.
Valorisation du thérapeute : image moderne, attention individualisée, qualité perçue renforcée.
Retour sur investissement direct : augmentation brute mensuelle moyenne du CA de 10% sans faire d'actes HN.
Même d’un point de vue économique, le modèle est durable.
Les praticiens évoquent un excellent rapport qualité-prix comparé à d’autres logiciels de prescription d'exercice.
Le prix logiciel kiné reste raisonnable pour un service qui fidélise les patients et fluidifie le quotidien.
Et surtout, dans une logique de santé publique, plus les patients sont autonomes, moins ils nécessitent de séances prolongées ou d’interventions de suivi lourdes.
L’impact global est positif, pour le patient, le thérapeute et le système de soins.
Témoignages complémentaires
« Depuis que j’utilise Andrew®, mes patients âgés m’impressionnent. Certains me parlent même des vidéos d’exercices comme d’un “coach à domicile”. » — C.V., kiné à Marseille
« Je pensais que la digitalisation allait me faire perdre du temps. C’est tout l’inverse : mes patientes sont plus réguliers et plus impliqués avant d'entamer leurs rééducations. » — T.L., sage-femme à Bordeaux
« J’ai testé plusieurs outils avant de choisir Andrew®. Pour moi, c’est clairement le meilleur logiciel kiné 2025. » — J.P., kinésithérapeute à Rennes
Conclusion
L’expérience Andrew® montre qu’il est temps d’en finir avec le cliché du senior “déconnecté”.
Avec un accompagnement adapté, le numérique devient un levier de liberté.
Et plus encore :
Le thérapeute devient le catalyseur de l’autonomie du patient, digitale et en rééducation.
Chaque geste guidé dans l’application, chaque vidéo regardée, chaque progrès noté participe à une rééducation plus rapide, plus durable et plus gratifiante.
Car au fond, le numérique ne remplace pas l'expertise du thérapeute : il la renforce.
Et avec Andrew®, cette main guide désormais les patients vers une santé plus autonome, plus connectée et plus confiante.
❓FAQ – Seniors, numérique et santé connectée
Les seniors peuvent-ils vraiment utiliser un outil numérique de santé ?
Oui. Les chiffres d’Andrew® montrent qu’une part significative des utilisateurs ont plus de 75 ans. La clé réside dans l’accompagnement du thérapeute.
Comment encourager mes patients à adopter Andrew® ?
Présentez l’application en séance, montrez son fonctionnement, valorisez les progrès visibles. Mettez en place des visuels au cabinet pour que le patient puisse ouvrir son compte à la maison. L’adoption suit naturellement.
Quelle différence entre un logiciel kiné et une application rééducation patient kiné ?
Le premier facilite la gestion du cabinet ; la seconde prolonge la séance auprès du patient. Andrew® combine les deux dimensions dans une solution SaaS kiné complète.
Quels bénéfices cliniques de l’autonomie numérique ?
Une meilleure observance, des résultats plus rapides, et une rééducation plus motivante.
En résumé
Avec Andrew®,
Le patient devient acteur de sa santé,
Le thérapeute devient guide et catalyseur,
Et le numérique devient un vecteur d’autonomie, à tout âge.
Sources de l'article




